Hayley Richardson dans la peau des fesses de Kim Kardashian

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Il est une expression française dont on attribue la paternité à Alphonse Allais. C’est l’expression « coûter la peau » à laquelle le commun des mortels a finalement rajouté, des « fesses », « couilles » ou « balles ». Ainsi, il se dit d’avoir « coûter la peau des fesses » d’une chose ayant coûté une somme astronomique. Comme la chirurgie des fesses. Mais, l’expression peut aussi signifier une situation difficile à laquelle on a survécu par un effort surhumain. C’est ce qu’a vécu Hayley Richardson, journaliste au Sun, qui a choisi mettre de fausses fesses pour ressembler à Kim Kardashian.

La drôle d’expérience de Hayley Richardson

En choisissant de se mettre dans la « peau des fesses » de Kim Kardashian, Hayley Richardson, aura finalement compris que c’est une situation éprouvante, éreintante,  un calvaire que vit quotidiennement la femme du rappeur Kanye West. Car, la journaliste du Sun a bien failli y laisser sa peau dans les rues de Londres.

Fascinée par Kim Kardashian, et s’étonnant de ce que les femmes ayant posé des implants fessiers pouvaient traverser, elle a choisi de faire une enquête in vivo. En s’achetant sur Amazon des fausses fesses qu’elle a délicatement cachées dans une robe du même style que ce que porte la fille de Kris Jenner. Il fallait pousser le mimétisme jusqu’au bout ! Mais sa surprise, surtout sa peine, fut grande en arpentant les rues londoniennes. Elle ne s’était point imaginée qu’après une augmentation des fesses par pose d’implants, le résultat soit aussi bluffant et les regards « chosifiant » selon les propos de l’existentialiste Sartre.

Les femmes avaient vis-à-vis d’elle, un regard admiratif, envieux, jaloux. Les hommes eux, leur eros, cet instinct de plaisir qui ne fait voir l’autre que sous le prisme de la jouissance, avaient les yeux débordants de désir, le regard félin. Mais, courageusement, Hayley Richardson a continué son périple. Il fallait bien boire la Passion (souffrance) jusqu’à la lie. Escaliers, ascenseurs, lieux publics, elle a fait le tour, en voyant les hommes, baves au coin de la bouche, se lécher les babines en s’imaginant sans doute la queue ailleurs qu’entre les jambes face à ce popotin bien galbé. Une situation qui l’aura tellement gênée que si ça n’avait pas été une expérience choisie délibérément, elle aurait terminé cette interminable journée avec des ♯metoo ou ♯balancetonporc.

Aussi, après avoir, grâce à son postérieur bien arrondi, bénéficié gratuitement d’une pizza, elle a retrouvé son domicile en poussant un ouf de soulagement.

La rupture d’un plan

Dans son cas, on ne parlera pas de retrait d’implant. Il lui a suffi de retirer les fausses fesses une fois chez elle, comme si la rupture d’implant faisait sortir les secrets nauséeux d’une beauté plastique, elle s’est livrée en quelques mots sur cette douloureuse expérience dont on livre ici quelques-unes de ces déclarations :

« Rien ne m’avait préparée aux regards que je recevais simplement en marchant dans la rue » (n’aurait-elle pas dû écrire préalablement à l’épouse de Kanye ?) Puis de rajouter, « Le nombre de types qui ont fait des grognements pervers et des remarques suggestives était assez renversant » (Et donc les hommes majoritairement sont des HarveyWeinstein ?). « C’était un soulagement de pouvoir me déshabiller et m’asseoir sans regarder partout pour vérifier que personne ne me regardait » (N’est-ce pas ça l’effet recherché après un remodelage des fesses par implants ?).

 

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